Ancienne carte religieuse de communion
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Description
Ancienne carte religieuse de communion.
Des usures normales
Rare ancienne carte religieuse de communion.
Certaines usures.
Une manière de conserver une trace de la première fois où un enfant reçoit le Corps du Christ.
belle image religieuse ancienne .
La tradition veut, que lors d’une première communion ou d’une profession de foi, on offre des images pieuses appelées « image de communion ».
On retrouve souvent ces images pieuses dans une bible, un livre religieux ou encore un missel du dimanche.
Souvent elles portent le nom du communiant, la date de la communion .
Pour remercier les invités de leur présence, la tradition veut que le communiant leur offre une carte évoquant ce jour spécial. Ce cadeau rempli de sincérité et d’affection enverra un message fort et touchant à vos proches.
Des images distribuées à la famille et aux amis. Dans les vieux missels ou dans la Bible des grands-parents, vous trouverez à coup sûr plusieurs images pieuses. Elles existent depuis le 18e siècle. Les communiants distribuaient autrefois à toute leur famille ces images plus ou moins colorées, au dessin variable selon l’époque. Au verso, l’enfant inscrivait une petite phrase, la date de la célébration et son prénom,
autres cartes religieuses:
Quelles sont les 3 communions
Du noir à la couleur. Jusqu’aux années 1850, les images sont en noir et blanc. Les plus belles ont des bords dentelés d’une grande finesse et s’ouvrent parfois comme des triptyques. La couleur s’impose sous la IIIe République, les bords de dentelle de papier continuent à faire fureur, on utilise le gaufrage pour donner du relief, on ajoute parfois un voile en papier transparent et de petites bandes de tissu doré pour les ceintures des personnages.
Des images en celluloïd. Les années 1880-1890 sont celles de la mode des images en celluloïd : cette nouvelle matière, utilisée surtout pour les poupées, remplace ici le papier. Elle laisse passer la lumière autour de personnages ou de motifs floraux peints à la main ou collés. Les images pieuses ainsi créées sont superbes, mais la matière est si fragile qu’on s’en détourne en quelques décennies : le celluloïd ne peut ni se tordre ni se plier, il devient même cassant s’il fait froid et il prend feu si on l’approche d’une source de chaleur.
Le grand retour du papier. Si pendant les guerres on revient à l’impression en noir sur du papier de plus ou moins bonne qualité, la couleur l’emporte définitivement après la Seconde Guerre mondiale. Quant aux motifs imprimés, ils correspondent aux goûts de chaque époque : des petits poulbots dans les années 1960, des paysages bucoliques dans les années 1970-1980, des reproductions de tableaux anciens dans les années 2000… Mais toujours avec un petit mot de l’enfant au dos.
Informations complémentaires
Poids | 0.02 kg |
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